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 :: 04/01/2004 : Etape 04 > Tanger / Er Rachidia

 

 

 

 

ÉTAPE 4 : TANGER > ER RACHIDIA

 

Dimanche 4 janvier 2004

 

Liaison : 233 km - Spéciale : 75 km - Liaison : 444 km

Total : 752 km

Piste assistance : 750 km

 

Drapeau Maroc Maroc

 

Tracé de l'étape 04

 

CLASSEMENT : n°285 - Nicolas RICHARD (pilote) / Pierrick JOLLY (copilote)
----------------------------------------------------------------------------------------------------------------

Etape

Position : 117ème

Temps : 1h09'50"

Ecart : 29'10"

Pénalité : /

Général

Position : 109ème

Temps : 1h54'47"

Ecart : 42'27"

 

Pour cette première étape africaine, les choses s'annoncent déjà sérieuses. Après 233 kilomètres de liaison très rapide, les concurrents empruntent une piste très roulante mais jalonnée de nombreux pièges, de nids de poule invisibles et de trous cachés au bord de la trace. Progressivement, la piste se resserre et se révèle plus ou moins défoncée par endroits. Après la mi-course, les difficultés se font moins nombreuses jusqu'à l'arrivée de la spéciale. Il reste alors 444 kilomètres de liaison.

 

Carnet de bord :

Après une nuit plutôt courte sur le premier bivouac, entamée par les bruits incessants, et le réveil matinal des motos qui partent tôt. Tout le monde était impatient de prendre part à la première étape Marocaine. Malgré une étape très boueuse, tout s'est bien passé pour l'équipage qui en a été quitte pour un bon nettoyage du 4x4. La liaison vers Er Rachidia quant à elle a été plutôt périlleuse, avec ses petites routes sinueuses de montagnes bordées de neige (histoire de ne pas oublier Clermont) et les camions de course qui remontent à tombeaux ouverts vers le bivouac. Ce soir, Gérard à contrôlé le véhicule sous plusieurs angles et jusqu'ici la mécanique n'a pas souffert, les hommes eux ressentent les premiers signes de fatigues.

 

Questions des Internautes :

Gouss' (Pierrick), des supporters de Floride ayant pratiqués les pistes Africaines pendant trente ans, souhaitaient savoir quelles sont tes premières impressions concernant cette nouvelle aventure ?

> Cher Jean, je retrouve la même sensation de bonheur que lorsque nous avions sorti ensemble un requin de l'eau...

 

Michel, quel est ton ressentiment vis-à-vis de la réaction de la Fédération ?

> Je n'ai pas complètement été surpris, j'avais du mal à croire que la Fédé fasse marche arrière. Cependant leur manière de faire, en nous retirant la licence huit jours à peine avant le départ, est complètement inadmissible. Nous n'en resterons pas là et on va se battre pour l'obtenir grâce aux nombreux contacts que l'on a pu mettre en place.

 

Nicolas, 9 ans après ta participation au Dakar en moto, qu'éprouves-tu en jalonnant les premières pistes Africaines en auto ?

> Le confort de la voiture procure une certaine sécurité, en revanche il faut être vigilant pour ne pas casser la mécanique. En moto on a toujours plus peur pour l'homme que pour la machine. Mais les sensations sont bonnes.

 

Gérard, y a-t-il une étape en particulier qui te fait peur pour la mécanique ?

> Oui, l'étape Tan-Tan > Atar qui nous fera rentrer en Mauritanie devrait être assez éprouvante pour la mécanique avec ses plus de 1 000 km qui vont sollicités les moteurs. Mais il faudra également être vigilant sur ce type d'étape qui reste piégeuse.

 

A Clermont-Ferrand, vous êtes-vous sentis soutenus, que ce soit par le public, les concurrents, les médias, ou par ASO ?

 > Sur ce plan tout le monde a bien réagit, ASO en la personne de Patrick ZANIROLI a, à mon avis, fait tout ce qui était en son pouvoir pour faire évoluer les choses au niveau de la Fédé. Pour le public, il y avait énormément de monde à Clermont et je pense qu'il n'était pas toujours évident de pouvoir nous identifier, mais les concurrents, eux, ont tous trouvé cette situation "dégueulasse". Enfin la surprise est venue des médias avec un engouement sans limite pour notre aventure et la parution de nombreux articles, diffusion de reportages que ce soit dans la presse écrite, la radio ou la télévision.

 

 

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